zondag 5 juni 2011

Discours

Marchés et marchettes. Chères marchettes.
Quand qu’on est en France, de Livres à Marseille, les tiquituées ne se parlent plus fort européennes. On dit: ‘Je naisse quoi!’ et, par évidence, c’est le mot cutranquilair.
Plus qu’on fit des pardoises, nonchalement, ou qu’on dit: ‘Oui!’, mais ce n’est plus chartirement. Chartirement: non, messieurs!
Contre les parqueus des mirands supérieures, j’insiste de pouvoir clattaquer, comme on dit, chères marchettes, la marche rapatulogue. La marche rapatulogue, oui! Par des institutions contribuelles où s’on ménage pas – ou à peine d’entrequier plus – à permédailloner les personnes quisables.
Que ce qu’on qualle, n’importe quoi, c’est de dire, chères marchettes, des convusiblements sûres. Mais la insécurité de ces quatrouples et la insécurité des points à tertres – c’est la coupelle d’égrave. La coupelle d’égrave, bien sûre.
La bitte d’on expecte, ce n’est pas faite-marine, aussi. Ha ha ha! Quelle bitte! S’arrangerez par quoi! Ou par qui, c’est ma question.
Chères marchettes, aai lufs you! Toutes à vous. Merci. Aai lufs you all. De n’emprêtre les conseignements d’Albert, c’est important d’oublier: Un. Le cas de Gérard, et Deux: Le cas de Simon.
Clairtainement. Je vous remercie, quoi q’on vive ou viverai!


(par: Benjamin Hautarbre.)

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